En route vers le marathon du Médoc 2023 : test des Mizuno Wave Rider 27

En route vers le marathon du Médoc 2023 : test des Mizuno Wave Rider 27
Nicolas Duplàa
Nicolas Duplàa
Coureur en espadrilles
Publié le 28-09-2023

Membre du RUNNEA Team depuis le début de l’année, j’ai le bonheur de faire mon deuxième test de chaussures de running. Et quelle paire de pompes ! On m’a confié les Mizuno Wave Rider 27, l’une des chaussures les plus emblématiques de la marque japonaise.

Un modèle de cette taille mérite une belle course pour couronner le test. Je suis un habitué du marathon des Châteaux du Médoc (je l’ai déjà fait une dizaine de fois), alors quoi de mieux pour boucler la saison d’été qu’une course aussi festive ?

Cap vers le marathon du Médoc avec les Mizuno Wave Rider 27 ! L'un des marathons les plus mythiques de France, avec une paire de chaussures qui ont tout pour réussir.

Quelques mots sur les Mizuno Wave Rider 27

Avant de parler marathon et prépa, parlons chaussures. Comme son nom l’indique, la Mizuno Wave Rider 27, c’est la 27e du nom. Autant dire que c’est une valeur sûre ! Ce modèle a déjà fait ses preuves et les améliorations proposées à chaque édition sont de l’ordre du détail.

Avec un drop de 12 mm et un poids de 280 g, cette chaussure de running est idéale pour les footings à allure légère et modérée. Sur le papier, les points forts sont l’amorti, le confort, le maintien et la stabilité.

Je trouve que c’est un bon timing : les Wave Rider 27 s’adaptent parfaitement à une épreuve comme celle du Médoc.

Les entraînements pour le marathon des Châteaux du Médoc avec les Mizuno

Dès que j’enfile le modèle, je vois que Mizuno tient ses promesses ! Le confort est vraiment au rendez-vous. J’enchaîne les premières foulées et je ressens l’amorti doux qui caractérise les modèles de cette marque. La Mizuno Enerzy fait vraiment des merveilles.

De son côté la technologie Wave non seulement contribue à l’amorti souple de la chaussure mais aussi à une réactivité nécessaire lorsqu’on cumule de la fatigue. Faite en Pebax Rnew, cette plaque rend le modèle très stable. À ce stade de la saison, où j’ai relevé pas mal de défis, mes pieds apprécient beaucoup l’aide apportée par cette technologie.

Cette stabilité est d’autant plus renforcée par un talon suffisamment rigide pour tenir le pied, mais assez souple pour être confortable.

La maille sans couture est très respirable, ce qui est vraiment un point bonus par temps chaud (le marathon a lieu début septembre, en pleine période des vendanges, alors vous imaginez le thermomètre !). Les lacets élastiques s’adaptent parfaitement au pied quand il gonfle au fil des kilomètres.

Les chaussures ont accumulé suffisamment de kilomètres pour m’accompagner au Médoc avec le maximum de garanties.

42K au milieu des châteaux : le marathon des Châteaux du Médoc

Pour ceux qui ne connaissent pas le marathon du Médoc : il s'agit d'un marathon (42,195 km) qui se déroule sur les terres médocaines. Cette boucle au départ de Pauillac est jalonnée d’une vingtaine de ravitaillements peu orthodoxes. Il s’agit de dégustations de grands crus tout au long du parcours !

Une vraie fête épicurienne du running

Si je devais résumer ce marathon en quelques mots : sport, copains, déguisements, convivialité et vin rouge. Que des ingrédients alléchants !

Chaque année, un thème est donné pour le déguisement. Cette année, le thème était la gastronomie.

Quand on court le marathon des Châteaux du Médoc, on sait qu'on part pour une sortie longue, voire très longue. Le rythme étant peu soutenu, il faut donc bien se chausser avec de l'amorti et du confort. Je pense avoir trouvé la chaussure idéale avec la Mizuno Wave Rider 27.

La plupart des participants ne viennent pas là pour battre leur record personnel. La montre est facultative. Sa seule utilité est de surveiller son chrono pour éviter de se faire rattraper par la voiture-balai.

Le moment de la course : défi relevé !

Je me rends à la ligne de départ avec mon groupe d’amis, déguisé en chef Mario, chaussé avec mes Mizuno.

Le parcours emprunte les vignes, les châteaux sur lesquels l'on goûte leur production. Sincèrement, malgré la longueur de la course, l'enchaînement des châteaux se passe très bien. Les chaussures proposent même une propulsion vers l’avant grâce à sa plaque Wave, ce qui me permet de foncer vers le château suivant.

À chaque ravitaillement, on trouve certains produits peu communs pour un marathon : viennoiseries, cannelés et sur la fin… entrecôte, huîtres, glace. À ce stade, on se dit qu’après un peu plus de 4 heures de course, on l'a bien mérité !

À l’arrivée, une médaille, un sac, une bouteille de vin et pas de courbatures.

Avec un peu de recul… Coup de cœur pour les Wave Rider 27 !

J’ai adoré faire cette course pour la 11e fois avec les Wave Rider 27. L’événement arrive à offrir chaque année la même magie et l’ambiance festive est vraiment une chose unique dans l’univers de la course à pied.

Je trouve que les chaussures de Mizuno ont été parfaites pour l’occasion. En marathon, j’ai un RP de 2h37, alors j’ai l’habitude de porter un autre type de modèle. Mais pour les sorties longues et les joggings de récupération, je serai ravi d’avoir les Wave Rider 27 en option.

Lire plus d'actualités sur : Running news

Nicolas Duplàa

Nicolas Duplàa

Coureur en espadrilles

Nicolas Duplàa, un sportif basque qui court...s en espadrilles. Un coureur très performant qui, comme nous tous, a un job à plein temps, une famille et des responsabilités.

a écrit: